GSD ABSOLUTE RETURN

Présentation

GSD ABSOLUTE RETURN est un fonds diversifié international sans contrainte d’allocation d’actifs (actions et/ou obligations, produits dérivés sur actions, taux, matières premières et devises), de zones géographiques et de secteurs d’activité.

Le FCP a pour objectif de réaliser une performance annualisée supérieure à l’Eonia capitalisé quotidiennement indépendamment de l’évolution des marchés financiers, au moyen d’une gestion discrétionnaire et dynamique de l’ensemble des classes d’actifs reposant notamment sur la mise en oeuvre de stratégies d’investissement de type “Global Macro”.

Une attention particulière est portée au maintien d’une faible volatilité.

Le FCP peut investir plus de 10 % de son actif dans d’autres OPC.

Commentaire de gestion

Mis en ligne le 20 mars 2023

Macroéconomie / Contexte de marché

En février, les marchés actions ont clôturé leur deuxième mois de hausse consécutive. Ainsi, l’indice STOXX Europe 600 a gagné 1,74 % sur le mois, contre 1,88 % pour l’indice avec dividendes réinvestis.
Les valeurs dites de “croissance” ont sous-performé les valeurs dites “value” avec un indice Stoxx Europe Growth qui a gagné 0,42 % et un indice Stoxx Europe Value qui a progressé de 1,76 %.

De leur côté, les taux allemands et français de maturité 10 ans se tendent et s’affichent respectivement à 2,67 % et 3,14 %, entrainant par la même occasion la baisse du prix des obligations. Dans leurs sillages les obligations d’entreprises Investment Grade (indice Iboxx Euro Corporate Senior) perdent 1,49 %, la baisse est plus modérée sur les titres les plus risqués (indice ICE Bofa Euro High Yield) avec une baisse de 0,17 %.

En février, les marchés actions ont poursuivi la hausse qu’ils avaient entamée un mois plus tôt, avec cependant des signes d’essoufflement liés à un regain de tension sur les marchés de taux. En effet, les derniers chiffres d’inflation publiés en Europe et aux États-Unis indiquent un ralentissement de la baisse observée ces derniers mois, avec des CPI qui stagnent. Ainsi, en zone euro, l’indice annualisé ressort à 8,5% (contre 8,6% en janvier) avec des disparités entre les pays membres, certains pays, parmi lesquels la France et l’Allemagne, enregistrant des hausses. Aux États-Unis, l’indice est de 6,4% en annualisé (contre 6,5% le mois précédent) et en accélération sur un mois à +0,5%.

Après ces différentes publications, le pivot monétaire tant attendu semble une nouvelle fois s’éloigner. Les investisseurs craignent désormais que l’inflation reparte à la hausse ou reste durablement élevée, contraignant les banquiers centraux à aller plus loin dans les hausses de taux. D’ailleurs, la solidité du marché de l’emploi aux États-Unis donne également du crédit à cette hypothèse. Dans ce contexte, les taux souverains se sont tendus et le taux à 10 ans français ainsi que le taux à 10 ans allemand enregistrent désormais des performances négatives depuis le début de l’année. Cet épisode de volatilité ne s’est pour le moment pas diffusé sur la partie crédit et l’indice Xover continue à se resserrer, -63 points depuis le début de l’année.

Côté microéconomie, la saison des publications touche à sa fin et les résultats sont globalement mitigés. En Europe, nous avons eu 60% de surprises positives sur la saison des résultats et les prévisions de croissance des bénéfices par action ont été révisées à la hausse. Cependant, si l’on exclut les entreprises du secteur de l’énergie, le BPA des entreprises a chuté de 3%. Le constat est un peu plus sévère de l’autre côté de l’Atlantique où, pour la première fois depuis la pandémie, les bénéfices des entreprises du S&P 500 ont baissé par rapport à l’année précédente.

Dans les prochaines semaines, les politiques monétaires continueront d’imprimer la tendance sur les marchés financiers et les investisseurs auront les yeux rivés sur l’inflation. Ainsi, comme les mois précédents, nous serons attentifs aux publications statistiques des différents CPI et PMI en Europe, mais aussi aux États-Unis, afin d’apprécier la dynamique sur ces deux composantes.

La gestion         

Sur la période du 3 février au 3 mars, GSD Absolute return gagne 0,57 %, tandis que son indice de référence est en hausse de 0,19 % sur la même période. Sur le mois nous avons renforcé notre exposition sur le fonds CANDRIAM DIV.FUTUR.Z.

INFORMATIONS LÉGALES

Les informations présentées ci-dessus ne constituent ni un élément contractuel, ni un conseil en investissement. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Les frais de gestion sont inclus dans les performances. La valeur de l’investissement peut varier au gré des fluctuations du marché et l’investisseur peut perdre tout ou partie du montant de capital investi, les OPC n’étant pas garantis en capital. L’accès aux produits et services présentés ici peut faire l’objet de restrictions à l’égard de certaines personnes ou de certains pays. Le traitement fiscal dépend de la situation de chacun. Les risques, les frais et la durée de placement recommandée des OPC présentés sont décrits dans les DICI (documents d’information clé pour l’investisseur) et les prospectus disponibles sur ce site internet. Le DICI doit être remis au souscripteur préalablement à la souscription.

Performances au

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    Documents

    VALEURS LIQUIDATIVES

    RAPPORTS

    RÉGLEMENTAIRE

    Caractéristiques

      • Code ISIN :
        FR0011136100
      • Classification :
        Diversifié
      • Durée placement recommandée :
        > 5 ans
      • Indicateur de référence :
        €STR capitalisé + 0,085%
      • Valorisation :
        Quotidienne
      • Devise de cotation :
        Euro
      • Date de création du fonds :
        15/03/2010
      • Eligible Assurance Vie :
        Oui (selon modalités)
      • Eligible PEA : Non
      • SRI : 2
      • Dépositaire :
        CIC Market Solutions
    • Valorisateur :
      Crédit Mutuel Asset Management

    Gérants du fonds

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